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Sur le papier | Sur la toile
Sur le papier
2007
5 février: La Nouvelle République
Trois Wriggles pour une première
Déjà 10 ans de scène pour Les Wriggles. Ce week-end, ils avaient donné rendez-vous à leur public tourangeau à l’espace Malraux, à Joué, pour deux concerts. Si sur scène, ils ne sont plus que trois – Stef, Kristof et Fred – le reste lui, n’a pas changé. Chansons impertinentes, énergie, tenues de scène et nez rouge, bref, on retrouve intact l’esprit Wriggles !
Pour ce nouveau spectacle, ils ont concocté un répertoire surprenant : plus que jamais, Les Wriggles se moquent du monde et d’eux-mêmes. Sur un ton tour à tout cynique, drôle ou émouvant, ils parlent de la politique, de la solitude, du temps qui passe, des lendemains de fête, de la famille… Côté musique, tout simplement deux guitares et Stef, le batteur sans batterie « humanbeat-box » ou extraordinaire boîte à rythme humaine. Auteurs compositeurs, musiciens et comédiens, Les Wriggles ont fait plaisir à leurs fans en reprenant quelques anciennes chansons comme « Poupine et Thierry » ou « Monolithe ». Mais ceux qui découvraient le groupe étaient tout aussi enthousiastes car c’est tout le public, à la fin, qui s’est levé pour les nombreux rappels.
2 février: présentation du nouveau spectacle à la première de Joué les Tours (source Edith)
recto - verso
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2006
3 août: article dans Sud-Ouest (scan G)
août: Bulletin du festival Humour et eau salée
(scan G)
19 mai: Bulletin culture 7 en scène
Franco Fans n°19 on recherche
8 mars: Charlie Hebdo n°716 (source Noémie)
Rubrique Copinage : Wriggles Best of
Le problème des "Best of", c'est que quand le groupe est bon, il manque toujours des chansons essentielles. Alors on va dire que, pour 12 euros, vingt-deux titres des Wriggles, c'est vraiment une affaire. Et puis, ça fait un cadeau pas trop ruineux à offrir à tous vos copains et copines qui ne connaissent pas encore les cinq forcenés en rouge. Editions Atmosphériques.
Luce Lapin
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2005
décembre: Campus couverture + page 1 + page 2 (scan Bastet)
juillet: Phosphore n°289: article 1 - article 2 (scan Sloka)
mai: Journal Inter-Universitaire de Clermont
avril: Carrefour savoir: 1 page on recherche
avril: Le journal des Estival de Dinard: page 1 + page 2
avril: Libération : critique de l'album Moi d'abord par Ludovic Perrin
1 avril: 20 minutes
Le poil à gratter social des Wriggles
Qu’une chorale loufoque de cinq hurluberlus tout de rouge vêtus, réincarnation des Frères Jacques, remplissent le Zénith* de Paris n’a rien d’un canular. Depuis une dizaine d’années, les Wriggles écument les salles de spectacles et les festivals d’été avec leurs chansons burlesques sur la drôlerie ordinaire du quotidien et drainent derrière eux un public fidèle. « Le bouche-à-oreille est notre outil de promotion essentiel. » Si leurs comptines à la plume fine et aux mélodies minimalistes n’ont pas l’heur de plaire aux grandes radios, elles ont au moins séduit la jeunesse altermondialiste, pro-dépénalisation du cannabis arborant dreadlocks et piercings. En choeur, les Wriggles conspuent Sarkozy, Bush et la société de consommation. Leur dernier album, Moi d’abord, musicalement plus riche, est aussi plus tendre, apaisé. Ils chantent : « J’habite fenêtre sur cour / Chambre avec vue sur l’amour. » Mais chez les Wriggles, même les chansons d’amour cachent toujours un petit sachet de poil à gratter social. Que l’amour se manifeste par la complainte d’un macho infidèle, d’abord rigolo puis violent, ou par la berceuse à deux voix de deux papas homosexuels.
Benjamin Chapon
* Demain soir au Zénith (Paris 19e), le 6 à Lille et le 14 à Bordeaux.
30 mars: Télérama n°2881: supplément Sortir couverture + page 1 + page 2 (scan Fouiquette)
mars: Canard enchainé, rubrique culture : critique de l'album Moi d'abord on recherche
janvier: L'ouvre-boîte n°2 : couverture + page 1 + page 2 (scan Nupia)
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2003
1 dec: Rollingstone n°14 on recherche
"Crise: Zebda, Bérus, Wriggles nous remontent le moral"
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2000
Chorus n°30 hiver 1999-2000
Les Wriggles
Ces cinq grands sales gosses de comédiens-chanteurs, mal élevés, provoquateurs au possible et toujours habillés de rouge (!), ont enregistré ce premier album en février dernier à LA Cigale(Paris), bien que le groupe existe depuis 1995. C'est prestement troussé, mais pire que tout ce qu'on connaissait dans l'humour noir et la dérision, donc souvent irrésistible ("Monolithe", "Dieubouddallah", "Plouf")) et parfois méchamment limite ("Petite Candy"). Détournant rock, rap, punk et compagnie à leur sauce, ils "dépotent" comme on dit, avec une seule gitare pour leurs cinq voix, confraternellement "arrangées" par Michel Puyau de Chanson Plus.
(CD Les Wriggles partent en Live, 20 titres, 49'36. Blue Line VB061/L'Autre Distribution)
Daniel Pantchenko (source Samesuffit)
Fluide Glacial n°287 on recherche
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Date inconnue
Ouest France de Vannes on recherche
Télé magazine (avant 2006) on recherche
Télépoche (2006 ?) on recherche
2007
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Ville du Vésinet
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Ville de Bordeaux-Lac
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Ville de Vierzon
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Ville de Joué les Tours
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Ville de Selestat
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Ville d'Yverdon
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2005
12 mai festival Paroles et Musiques
> interview de Tonio et Fred
> présentation du groupe:
Attention , Edition 2005
Près de trois ans après la création de leur spectacle ici même à la Salle Jeanne d’Arc, les Wriggles nous reviennent plus en forme que jamais, et pour leur nouveau spectacle ils ont tout changé : les textes, les mélodies, la lumière, le son, les arrangements, les mises en scène, les interprétations, les costumes, les chaussures, les chaussettes.
Par contre les Wriggles n’ont pas changé : l’équipe, la guitare, les voix, le rouge, le cynisme, la tendresse, le coeur, le cerveau, le cul et le regard.
Les Wriggles ne sont plus les mêmes, mais ils sont toujours pareils :
Un groupe indéfinissable, unique en cinq genres.
Gare à vous, les Wriggles sont dangereux ! La première fois qu’on a vu ces diablotins bondir dans tous les sens en sortant des horreurs, on a bien failli s’étouffer... de rire. Car pour parvenir à leurs fins (nous amener au bord de l’apoplexie à coup d’humour décapant) ces zigotos ne reculent devant aucune pitrerie, fussent-elles, énormes et un brin vulgaires. Et le pire, c’est qu’on leur pardonne tout ! Mais les Wriggles, anti-gendres idéaux, sont finalement irrésistibles, désespérément drôles, toujours imprévisibles, irrespectueux sans être agressifs, inventifs et en mouvement. Les voilà qui sautent, dansent, miment, chantent (bien) et s’arrachent la guitare pour nous gratter une petite mélodie... qu’on se surprendra à siffloter en sortant....
festival Voix-ci voix-là à Vaugneray
photos, retrospective du festival (W à la 6ème minute), vidéo de présentation du groupe.
concertandco: critiques 2005
2004
Mygmusique, le webzine musical: témoignage du concert de Mâcon (71)
Rokenrol: interview à l'occasion du concert de Sallanches (74)
2003
30 mai 2003 longueur d'ondes - article pour la sortie de l'album Ah bah ouais mais bon. Des photos inédites!
2002
23 juin 2002 i-musik - interview sur la sortie de l'album Ah bah ouais mais bon
2002 musiqualite - interview "les wriggles ou la demission du journalisme culturel"
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